HORAIRE DES SÉANCES DE MÉDITATION HEBDOMADAIRES :
Mardi de 10h00 à 11h30
Mercredi de 19h à 20h30
Vendredi de 19h à 20h30
Dimanche de 10h00 à 11h30
CALENDRIER DES ACTIVITÉS PONCTUELLES :
Tous les 4èmes dimanches du mois, nous organisons une initiation aux instruments dans le zendô (bois, cloche, mokugyo, clochette).
Vous êtes tou-te-s les bienvenu-e-s à cette initiation.
Tous les 1ers mercredis et 2èmes dimanches du mois, nous lirons après la séance de zazen un extrait du Shōbōgenzō Zuimonki.
Shōbōgenzō Zuimonki, que l’on peut traduire par La Vraie Loi, Trésor de l’Œil: Notes fidèles de paroles entendues, est un recueil de discussions informelles, d’enseignements et de conseils sur le Dharma donnés par le maître Eihei Dōgen, fondateur de l’école zen Sōtō. Ces entretiens ont été pris en note par son principal disciple Koun Ejō entre 1235 à 1237, à Kôshô-ji. Le texte a probablement été révisé par d’autres disciples après la mort d’Ejō. Ejô a noté ces propos tenus en japonais familier et il leur a laissé leur saveur particulière, sans les traduire en chinois formel, comme c’était alors la règle au Japon.
Le Zuimonki est le premier exemple au Japon de goroku (« entretiens des maîtres »), un genre très important dans la littérature zen, qui s’est d’abord développé en Chine où il est connu sous le nom de yu-lu. Les recueils d’entretiens sont constitués de sermons, de dialogues entre maître et disciples, de dits et de propos, d’anecdotes et autres enseignements de grands maîtres zen. Ce matériel a en général été rassemblé et publié après la mort du maître.
Conférence – atelier
Qu’est-ce que le bouddhisme ?
Qu’est-ce que la méditation ?
Jeudi 9 février (20h – 22h)
Participation aux frais : 5 €
Inscription nécessaire par téléphone au 0497/66.26.37 ou par mail à zenbrabant@gmail.com
Tous les 1ers mercredis et 2èmes dimanches du mois, nous lirons après la séance de zazen un extrait du Shōbōgenzō Zuimonki.
Shōbōgenzō Zuimonki, que l’on peut traduire par La Vraie Loi, Trésor de l’Œil: Notes fidèles de paroles entendues, est un recueil de discussions informelles, d’enseignements et de conseils sur le Dharma donnés par le maître Eihei Dōgen, fondateur de l’école zen appelée Sōtō. Ces entretiens ont été pris en note par son principal disciple Koun Ejō entre 1235 à 1237, à Kôshô-ji. Le texte a probablement été révisé par d’autres disciples après la mort d’Ejō.
Le Zuimonki est le premier exemple au Japon de goroku (« entretiens des maîtres »), un genre très important dans la littérature zen, qui s’est d’abord développé en Chine où il est connu sous le nom de yu-lu. Les recueils d’entretiens sont constitués de sermons, de dialogues entre maître et disciples, de dits et de propos, d’anecdotes et autres enseignements de grands maîtres zen. Ce matériel a en général été rassemblé et publié après la mort du maître.
Ejô a noté ces propos tenus en japonais familier, et il leur a laissé leur saveur particulière, sans les traduire en chinois formel, comme c’était alors la règle au Japon.
Tous les 4èmes dimanches du mois, nous organisons une initiation aux instruments dans le zendô (bois, cloche, mokugyo, clochette).
Vous êtes tou-te-s les bienvenu-e-s à cette initiation.
Tous les 1ers mercredis et 2èmes dimanches du mois, nous lirons après la séance de zazen un extrait du Shōbōgenzō Zuimonki.
Shōbōgenzō Zuimonki, que l’on peut traduire par La Vraie Loi, Trésor de l’Œil: Notes fidèles de paroles entendues, est un recueil de discussions informelles, d’enseignements et de conseils sur le Dharma donnés par le maître Eihei Dōgen, fondateur de l’école zen Sōtō. Ces entretiens ont été pris en note par son principal disciple Koun Ejō entre 1235 à 1237, à Kôshô-ji. Le texte a probablement été révisé par d’autres disciples après la mort d’Ejō. Ejô a noté ces propos tenus en japonais familier et il leur a laissé leur saveur particulière, sans les traduire en chinois formel, comme c’était alors la règle au Japon.
Le Zuimonki est le premier exemple au Japon de goroku (« entretiens des maîtres »), un genre très important dans la littérature zen, qui s’est d’abord développé en Chine où il est connu sous le nom de yu-lu. Les recueils d’entretiens sont constitués de sermons, de dialogues entre maître et disciples, de dits et de propos, d’anecdotes et autres enseignements de grands maîtres zen. Ce matériel a en général été rassemblé et publié après la mort du maître.
Tous les 1ers mercredis et 2èmes dimanches du mois, nous lirons après la séance de zazen un extrait du Shōbōgenzō Zuimonki.
Shōbōgenzō Zuimonki, que l’on peut traduire par La Vraie Loi, Trésor de l’Œil: Notes fidèles de paroles entendues, est un recueil de discussions informelles, d’enseignements et de conseils sur le Dharma donnés par le maître Eihei Dōgen, fondateur de l’école zen appelée Sōtō. Ces entretiens ont été pris en note par son principal disciple Koun Ejō entre 1235 à 1237, à Kôshô-ji. Le texte a probablement été révisé par d’autres disciples après la mort d’Ejō.
Le Zuimonki est le premier exemple au Japon de goroku (« entretiens des maîtres »), un genre très important dans la littérature zen, qui s’est d’abord développé en Chine où il est connu sous le nom de yu-lu. Les recueils d’entretiens sont constitués de sermons, de dialogues entre maître et disciples, de dits et de propos, d’anecdotes et autres enseignements de grands maîtres zen. Ce matériel a en général été rassemblé et publié après la mort du maître.
Ejô a noté ces propos tenus en japonais familier, et il leur a laissé leur saveur particulière, sans les traduire en chinois formel, comme c’était alors la règle au Japon.
Tous les 4èmes dimanches du mois, nous organisons une initiation aux instruments dans le zendô (bois, cloche, mokugyo, clochette).
Vous êtes tou-te-s les bienvenu-e-s à cette initiation.
Tous les 1ers mercredis et 2èmes dimanches du mois, nous lirons après la séance de zazen un extrait du Shōbōgenzō Zuimonki.
Shōbōgenzō Zuimonki, que l’on peut traduire par La Vraie Loi, Trésor de l’Œil: Notes fidèles de paroles entendues, est un recueil de discussions informelles, d’enseignements et de conseils sur le Dharma donnés par le maître Eihei Dōgen, fondateur de l’école zen Sōtō. Ces entretiens ont été pris en note par son principal disciple Koun Ejō entre 1235 à 1237, à Kôshô-ji. Le texte a probablement été révisé par d’autres disciples après la mort d’Ejō. Ejô a noté ces propos tenus en japonais familier et il leur a laissé leur saveur particulière, sans les traduire en chinois formel, comme c’était alors la règle au Japon.
Le Zuimonki est le premier exemple au Japon de goroku (« entretiens des maîtres »), un genre très important dans la littérature zen, qui s’est d’abord développé en Chine où il est connu sous le nom de yu-lu. Les recueils d’entretiens sont constitués de sermons, de dialogues entre maître et disciples, de dits et de propos, d’anecdotes et autres enseignements de grands maîtres zen. Ce matériel a en général été rassemblé et publié après la mort du maître.
Tous les 1ers mercredis et 2èmes dimanches du mois, nous lirons après la séance de zazen un extrait du Shōbōgenzō Zuimonki.
Shōbōgenzō Zuimonki, que l’on peut traduire par La Vraie Loi, Trésor de l’Œil: Notes fidèles de paroles entendues, est un recueil de discussions informelles, d’enseignements et de conseils sur le Dharma donnés par le maître Eihei Dōgen, fondateur de l’école zen appelée Sōtō. Ces entretiens ont été pris en note par son principal disciple Koun Ejō entre 1235 à 1237, à Kôshô-ji. Le texte a probablement été révisé par d’autres disciples après la mort d’Ejō.
Le Zuimonki est le premier exemple au Japon de goroku (« entretiens des maîtres »), un genre très important dans la littérature zen, qui s’est d’abord développé en Chine où il est connu sous le nom de yu-lu. Les recueils d’entretiens sont constitués de sermons, de dialogues entre maître et disciples, de dits et de propos, d’anecdotes et autres enseignements de grands maîtres zen. Ce matériel a en général été rassemblé et publié après la mort du maître.
Ejô a noté ces propos tenus en japonais familier, et il leur a laissé leur saveur particulière, sans les traduire en chinois formel, comme c’était alors la règle au Japon.